000 02335cam a2200265 4500500
005 20250123084955.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aJavelle, Aurélie
_eauthor
245 0 0 _aL’acceptation de la part « sauvage » des plantes pour développer des systèmes maraîchers « diplomatiques »
260 _c2021.
500 _a50
520 _aNous nous intéressons aux relations entretenues avec les plantes par des maraîchers en agriculture biologique, et en particulier à la part qu’ils donnent au « sauvage » dans leurs systèmes de production. Le « sauvage » correspond ici aux manières dont les plantes expriment leurs manières d’être, leurs altérités, dans toute leurs singularités, leurs complexités et leurs incertitudes. Il peut se glisser dans des interstices ouverts par l’écologisation des pratiques et s’exprimer sous forme de potentialités inopinées. Le degré d’ouverture des maraîchers à l’altérité « sauvage » des végétaux détermine l’ampleur des variations des systèmes productifs et, par là-même, le développement d’un maraîchage que nous qualifions de « diplomatique ».
520 _aWe are interested in the relationships maintained by organic market gardeners with plants, and in particular the part they give to the “wildness” in the conduct of their production systems. The “wildness” here corresponds to the ways in which plants express their ways of being, their otherness, in all their singularities, their complexities and their uncertainties. “Wildness” can slip into interstices opened by the greening of practices and express itself in the form of unexpected potentialities. The degree of market gardeners openness to the “wild” otherness of plants shapes the extent of variations in production systems and, by that, the development of a market gardening that we call “diplomatic”.
690 _aaltérité
690 _aMaraîchage diplomatique
690 _avégétal
690 _asauvage
690 _avegetal
690 _awildness
690 _aotherness
690 _aDiplomatic market gardening
786 0 _nLa Pensée écologique | 6 | 2 | 2021-01-29 | p. 16-26
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-la-pensee-ecologique-2020-2-page-16?lang=fr&redirect-ssocas=7080
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