000 01971cam a2200277zu 4500
001 88911849
003 FRCYB88911849
005 20250107234014.0
006 m o d
007 cr un
008 250108s2016 fr | o|||||0|0|||fre d
020 _a9782803105557
035 _aFRCYB88911849
040 _aFR-PaCSA
_bfr
_c
_erda
100 1 _aLouryan, Stéphane
245 0 1 _aLes preuves embryologiques de l’évolution
_c['Louryan, Stéphane']
264 1 _bAcadémie royale de Belgique
_c2016
300 _a p.
336 _btxt
_2rdacontent
337 _bc
_2rdamdedia
338 _bc
_2rdacarrier
650 0 _a
700 0 _aLouryan, Stéphane
856 4 0 _2Cyberlibris
_uhttps://international.scholarvox.com/netsen/book/88911849
_qtext/html
_a
520 _aAutant que la paléontologie, l’embryologie fournit de nombreuses preuves à l’appui de l’évolution des espèces.La connaissance du mode d’action et de la répartition spatiale et temporelle des gènes du développement permet de dégager des mécanismes qui expliquent les modifications des programmes de développement embryonnaire pouvant mener à des innovations évolutives.Le plan d’organisation des embryons de vertébrés est initialement très semblable dans les différents taxons, et les dissemblances morphologiques s’expliquent par des programmes ontogénétiques modifiés. On est donc bien loin de la loi biogénétique fondamentale de Haeckel, qui postulait que « l’ontogenèse résumait la phylogenèse ».Stéphane Louryan dirige le Laboratoire d’Anatomie, Biomécanique et Organogenèse de la Faculté de Médecine de l’Université libre de Bruxelles où il y enseigne l’anatomie humaine et l’embryologie. Il est membre de l’Académie royale de Médecine de Belgique, a été président de la Société royale d’Anthropologie et de Préhistoire. Il a également été rédacteur en chef de la Revue Médicale de Bruxelles.
999 _c73730
_d73730