000 02218cam a2200229 4500500
005 20250123100108.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aSavall, Henri
_eauthor
700 1 0 _a Zardet, Véronique
_eauthor
245 0 0 _aLa RSE, lien entre l’individu, l’organisation et la société : nouvel énoncé de la théorie socio-économique
260 _c2013.
500 _a25
520 _aLes économistes et les stratèges s’intéressent à la croissance du capital comme facteur clé de la performance. Les chercheurs en comportement organisationnel et en psychologie industrielle considèrent quant à eux que le changement dans le contenu du travail est une variable clé de cette performance, et tentent de prédire la performance individuelle. Mais ces théories disponibles ne permettent pas aujourd’hui de prédire la performance, de l’individu ou de l’organisation. Nous proposons de considérer que le facteur résiduel de la fonction de production peut être éclairé par le concept de coûts-performances cachés, pour mieux comprendre le « trou noir » des théories de la performance. Le modèle multi-niveaux que nous proposons repose sur une hypothèse d’isomorphisme, du niveau sociétal au niveau individuel, en passant par l’organisation et l’équipe de travail. Cet article vise à présenter ce modèle, à décrire les variables, dans la perspective d’une articulation entre la performance organisationnelle et individuelle : comment la performance de l’individu dans une organisation et inséré dans une équipe de travail, influence-t-elle la performance de l’entreprise ? Il révèle une dimension sous-jacente implicite mais fondamentale du modèle : les variables d’une politique de développement de la responsabilité sociale (RSE) et son impact sur la performance organisationnelle.
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786 0 _nManagement & Sciences Sociales | 14 | 1 | 2013-01-01 | p. 4-17 | 1952-3262
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-management-et-sciences-sociales-2013-1-page-4?lang=fr&redirect-ssocas=7080
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