000 01792cam a2200169 4500500
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041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aCollomb, Cléo
_eauthor
245 0 0 _aOntologie relationnelle et pensée du commun
260 _c2011.
500 _a5
520 _aRésuméLa pensée dominante, celle qui se réfère constamment à l’article de Garrett Hardin sur « La tragédie des communs », repose sur une ontologie atomiste : présupposer des entités individuelles revient à concevoir le commun comme espace d’externalités. Une ontologie relationnelle considérant que les entités viennent à l’existence par la relation nous conduit en revanche à penser l’individu, non comme présupposé, mais comme processus. Dès lors, le commun ne se déroule pas extérieurement à lui. L’individu s’individue par le commun, de même que le commun s’intensifie par les différentes individuations qui le texturent.
520 _aRelational Ontology and Conceptions of the CommonDominant views, based on Garrett Hardin’s article on “The Tragedy of the Commons”, are founded upon an atomist ontology: by presupposing individual entities, they conceive the commons as a space of externalities. A relational ontology, by assuming that entities come to exist through relations, leads us to conceive the individual, no longer as a presupposition, but rather as a process. As a consequence, the common is no longer exterior to the individual. One individuates oneself through the common, while the common is intensified by the various individuations which provide its texture.
786 0 _nMultitudes | 45 | 2 | 2011-05-16 | p. 59-63 | 0292-0107
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-multitudes-2011-2-page-59?lang=fr&redirect-ssocas=7080
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