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041 _afre
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100 1 0 _aTerlinden, Antoinette
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700 1 0 _a Audigié, Fabrice
_eauthor
700 1 0 _a Bertoni, Lelia
_eauthor
245 0 0 _aScintigraphie, IRM, scanner dans le diagnostic des boiteries : quelle technique choisir, quand et comment référer ?
260 _c2024.
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520 _aLocomotor disorders constitute one of the primary causes of poor performance and early retirement in equine athletes. Early, complete and accurate topographic and lesional diagnosis is necessary to ensure prompt and optimal management of the condition in order to limit its long-term consequences and establish the prognosis. The various available imaging techniques are useful diagnostic tools and progress in veterinary imaging has provided the profession with advanced imaging techniques, such as nuclear scintigraphy, computed tomography (CT), magnetic resonance imaging (MRI) and positron emission tomography (PET) in addition to the forever useful radiography and ultrasonography. Although more costly and less accessible, these techniques are rapidly becoming more widely available, making it possible to establish a definitive diagnosis when radiography and ultrasound are inconclusive, to determine the prognosis of lesions and to monitor their evolution over time to limit the risk of recurrence when resuming exercise. Because of their intrinsic technical characteristics, these methods each have advantages and limitations that make them more or less appropriate depending on the clinical context.
520 _aLes affections locomotrices sont l’une des principales causes de réduction de performance et de réforme des athlètes équins. Un diagnostic topographique et lésionnel précoce, complet et précis est indispensable afin d’assurer une prise en charge rapide et optimale de l’affection pour en limiter les conséquences sur le long terme et en établir le pronostic. Les différentes techniques d’imagerie font partie des outils diagnostiques disponibles. Outre la radiographie et l’échographie, techniques de routine offrant une grande complémentarité, l’imagerie vétérinaire a considérablement évolué ces dernières décennies et l’on dispose actuellement de techniques d’imagerie avancée telles que la scintigraphie, la tomodensitométrie (TDM) appelée scanner, l’imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomographie par émission de positrons (PET) [1–3, 11–12]. Plus coûteuses et moins accessibles, elles sont cependant en train de se démocratiser rapidement et permettent d’établir un diagnostic quand la radiographie et l’échographie ne le permettent pas, de préciser le pronostic de lésions et d’en suivre l’évolution dans le temps pour limiter les risques de récidive lors de la reprise de l’exercice. En raison de leurs caractéristiques techniques intrinsèques, ces modalités présentent chacune des avantages et des limites diagnostiques qui les rendent plus ou moins indiquées en fonction de la situation clinique.
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786 0 _nLe Nouveau Praticien Vétérinaire - Équine | 17-18 | 3 | 2024-07-25 | p. 44-56 | 1767-5081
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