000 01650cam a2200217 4500500
005 20250123122600.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aLaunat, Dominique
_eauthor
245 0 0 _aOui… mais non !
260 _c2021.
500 _a2
520 _aDominique Launat rappelle que le soin « sans consentement » constitue une exception propre à la psychiatrie, que, de plus, l’on note une augmentation de la contention et de l’isolement, ce qui manifeste une régression de la psychiatrie humaniste. L’important repose sur la relation : plutôt convaincre que contraindre. Ce pourquoi, nous avons des modèles : tant les CEMEA et la pédagogie institutionnelle que l’expérience des alcooliques anonymes. Ils ont ouvert la voie à la pair-aisance et aux GEM. Toutefois, pour convaincre, il faut prendre le temps, choisir le moment utile et se rappeler que la psychiatrie est aussi un art. Ne pas omettre, non plus, de prendre en compte le contexte du collectif, avec lequel se déploie l’action. Cela permet de conclure que si le consentement réside en un échange de paroles, le sens de la notion du consentement lui même reste imprécis. Il peut signifier aussi bien une adhésion totale ou partielle qu’une soumission à autrui ou à une autorité souveraine.
690 _ahumanisme
690 _arelation
690 _apratique du soin
690 _apsychiatrie
690 _acontrainte
786 0 _nPratiques en santé mentale | 67e aée | 4 | 2021-12-14 | p. 101-107 | 1286-1286
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-pratique-en-sante-mentale-2021-4-page-101?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c802253
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