000 01143cam a2200181 4500500
005 20250123125814.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aHuré, Sklaeren-Cécile
_eauthor
245 0 0 _aToujours avoir un conte sur soi
260 _c2023.
500 _a8
520 _aLe conte n’est pas violent dans sa forme, il peut l’être dans son contenu. Cette violence, ressentie à la découverte du conte, est d’autant plus incontrôlée qu’elle peut venir résonner dans des zones enfouies de nous-mêmes. C’est pourquoi celui qui partage l’histoire, conteur ou art-thérapeute conteur, doit veiller à laisser parler le conte par lui-même, violence visible ou non. Il doit s’effacer sans prendre parti ou surjouer, offrant ainsi au conte de distiller toute sa dimension symbolique et laissant à son auditoire toute la liberté de faire son propre voyage intérieur, de soin et/ou de rêverie.
690 _aviolence
690 _aConte
786 0 _nArt et thérapie | 132-133 | 1 | 2023-09-01 | p. 48-54
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-art-et-therapie-2023-1-page-48?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c812946
_d812946