000 01762cam a2200217 4500500
005 20250123130354.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aGorog, Jean-Jacques
_eauthor
245 0 0 _aIdentifications
260 _c2016.
500 _a5
520 _aLa question de l’identification suit chez Lacan une voie étroite qui suppose à chaque pas un franchissement et par conséquent une identification nouvelle. Chacun des complexes familiaux en fournit une modalité. La voie royale est l’identification au signifiant, mais pour que le franchissement qu’elle implique se produise, l’inscription dans le corps exige d’une part, une incorporation du signifiant et d’autre part, que celui-ci acquière quelque consistance, une image, bref une identité, où l’on reconnaisse le symbolique du trait, le réel de l’incorporation et l’imaginaire du corps dans le miroir.Le texte se limite pour l’essentiel à la période qui précède le séminaire de Lacan « L’Identification » et montre comment le résultat exige une conception de l’identification où le rêve d’une unité échappe nécessairement. Chaque fois que l’unité, l’ être comme, apparaît, elle est, dans la clinique, mauvais signe, signe qu’on a quitté le domaine de l’identification freudienne.
690 _aincorporation du père
690 _acomplexe d’intrusion
690 _atrait unaire
690 _afranchissement
690 _aidentification partielle
786 0 _nRevue des Collèges de Clinique psychanalytique du Champ Lacanien | 15 | 1 | 2016-03-26 | p. 29-40 | 2101-6429
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-des-colleges-de-clinique-psychanalytique-du-champ-lacanien-2016-1-page-29?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c814524
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