000 01421cam a2200217 4500500
005 20250123130611.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aJeauneau, Adeline
_eauthor
245 0 0 _aInopposabilité de l’immunité de juridiction aux salariés du consulat tenus d’aucune prestation relevant par nature ou par finalité de l’exercice de la souveraineté
260 _c2017.
500 _a88
520 _aLes États étrangers et les organismes qui en constituent l’émanation ne bénéficient de l’immunité de juridiction qu’autant que l’acte qui donne lieu au litige participe, par sa nature ou sa finalité, à l’exercice de la souveraineté de l’État et n’est donc pas un acte de gestion, tels les actes relatifs aux conditions et à l’exécution du contrat de travail n’imputant aux salariés du consulat aucune responsabilité particulière dans l’exercice du service public consulaire ni prérogative de puissance publique (1). MM. X. et Y. c/ État algérien
690 _aProcès équitable
690 _aRelation de travail
690 _aImmunité de juridiction
690 _aSalariés du consulat
690 _aActe de gestion
786 0 _nRevue critique de droit international privé | 1 | 1 | 2017-01-02 | p. 64-70 | 0035-0958
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-critique-de-droit-international-prive-2017-1-page-64?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c815272
_d815272