000 01672cam a2200241 4500500
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041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aBasaran, Melih
_eauthor
245 0 0 _aUne violence sans revers, sur une bande de Moebius
260 _c2015.
500 _a34
520 _aLe riche bilan des enjeux du politique et de la violence, pour ne pas dire des « politiques de la violence », qui constitue le livre d’Étienne Balibar, Violence et civilité, nous invite aussi à repenser la violence qui s’exerce dans l’être-employé d’un État (national) et du capitalisme (mondialisé). Car en parlant peut-être trop souvent, philosophiquement, dans ce déclin du communisme, du « déclin – ou parfois – de l’oubli du politique au profit de l’économie », en discréditant ainsi avec et depuis Aristote l’ oikonomos, et en oubliant les analyses de Marx sur l’économie-politique en tant que site même du conflit politique, on a assez vite oublié la violence blanche qui s’exerce dans les emplois du monde, dans tous ses modes d’emplois, même dans le mode « sans emploi », où l’ennui profond et l’être-inquiet dressent la tête en donnant encore des frissons dans le dos de l’histoire et de la classe politique.
690 _anégativité
690 _a« sans emplois »
690 _aViolence Blanche
690 _aennui
690 _aambivalence
690 _aGeorges Bataille
690 _adialectique
786 0 _nRue Descartes | 85-86 | 2 | 2015-11-23 | p. 104-113 | 1144-0821
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-rue-descartes-2015-2-page-104?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999 _c819542
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