000 01720cam a2200205 4500500
005 20250112000610.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aPindard-Langlat, Monique
_eauthor
245 0 0 _aComment pratiquer l'approche centrée sur la personne quand on porte en soi des marques de l'esclavage et de la colonisation ?
260 _c2005.
500 _a9
520 _aRésuméQuand on est comme moi, noire, avec une éducation en partie occidentale, en partie créole, comment peut-on être psychothérapeute dans l’ACP ? Aujourd’hui, mon cheminement personnel et intérieur me permet de poser ouvertement ces questions de façon à susciter un débat auprès de mes collèges européens.Comment avec toutes les cicatrices du passé puis-je avancer dans l’ACP et recevoir des clients qui parfois rouvrent inconsciemment ou consciemment cette blessure ancienne ?Je suis directement concernée par cette question car mon arrière grand-mère fut affranchie peu avant l’abolition de l’esclavage, et que je garde constamment sous les yeux cet acte d’affranchissement, signe, pour moi, d’abomination humaine.Mais je suis dans l’ACP et je pense que beaucoup de valeurs sont véhiculées par cette approche en laquelle je crois fortement. Cet article est une réflexion sur l’épineux problème de l’ACP dans un contexte multiculturel.
690 _athérapie multiculturelle
690 _adéveloppement de l'ACP
690 _apays d'outre-mer
690 _aesclavage
786 0 _nApproche Centrée sur la Personne. Pratique et recherche | 2 | 2 | 2005-12-01 | p. 6-17 | 1774-5314
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-approche-centree-sur-la-personne-2005-2-page-6?lang=fr
999 _c84411
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