000 01494cam a2200169 4500500
005 20250112003645.0
041 _afre
042 _adc
100 1 0 _aMatos, Michaelangelo
_eauthor
700 1 0 _a Garnier, Sophie
_eauthor
245 0 0 _aSur « Love Child » des Supremes
260 _c2015.
500 _a19
520 _aIl était une fois, au début des années 1960 à Detroit, Michigan, un trio de chanteuses qui allait devenir célèbre grâce à des tubes comme « Baby Love » ou « Where did our love go » et servir de tremplin à la diva Diana Ross : les Supremes. L’histoire du groupe ne se résume toutefois pas à un simple chapitre de la légende de la soul. Ni même à la façon dont Motown, sa maison-mère, a su faire de l’art et de l’argent. Dans ce texte, le journaliste américain Michaelangelo Matos (passé par le Guardian, Village Voice ou encore Rolling Stone) a choisi d’en faire la démonstration en se penchant sur le berceau de « Love Child ». En déconstruisant ce succès tardif et emblématique des Supremes, il va mettre en lumière un pan entier de l’histoire sociale des États-Unis et, en lui superposant son propre roman familial, comprendre ce que tout amateur de pop pressent de manière plus ou moins diffuse : une simple chanson peut devenir une véritable question de vie ou de mort.
786 0 _nAudimat | 3 | 1 | 2015-01-01 | p. 45-61 | 2261-3595
856 4 1 _uhttps://shs.cairn.info/revue-audimat-2015-1-page-45?lang=fr
999 _c96868
_d96868