000 | 02041cam a2200253 4500500 | ||
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005 | 20250125101946.0 | ||
041 | _afre | ||
042 | _adc | ||
100 | 1 | 0 |
_aRosier-Catach, Irène _eauthor |
245 | 0 | 0 | _aLes sacrements comme signes qui font ce qu'ils signifient : signe efficace vs. efficacité symbolique |
260 | _c2008. | ||
500 | _a74 | ||
520 | _aRésuméLes théologiens médiévaux écrivent de longs chapitres sur le sacrement, signe très particulier qui « fait ce qu’il signifie », cette caractéristique se retrouvant assignée à la formule, qui avec la matière, le constitue, formule qui ainsi se voit décrite comme un énoncé performatif ou « opératif », pour reprendre le terme de l’époque. Les discussions sur le sacrement en tant que signe et cause amènent à forger la catégorie de « signe efficace », dont la description donnée par Duns Scot est la plus précise. Traduire le « signe » des médiévaux, décrit à partir des définitions augustiniennes, par « symbole » n’a pas de légitimité. Tous les traits distinctifs assignés à cette catégorie floue de « symbole » sont en fait unanimement et uniquement celles du signe sacramentel : le passage du visible à l’invisible, la notion de pacte ou de contrat, la fonction de médiation et de reconnaissance, l’engagement des parties, le caractère institutionnel ou naturel, rituel et intentionnel. C’est précisément à saisir la profonde cohérence de toutes ces caractéristiques, et l’arbitraire qu’il y aurait à les séparer pour y retrouver du signe vs du symbole, qu’est consacré le présent travail. | ||
690 | _alangage | ||
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786 | 0 | _nTransversalités | 105 | 1 | 2008-05-20 | p. 83-106 | 1286-9449 | |
856 | 4 | 1 | _uhttps://shs.cairn.info/revue-transversalites-2008-1-page-83?lang=fr&redirect-ssocas=7080 |
999 |
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