000 | 01956cam a2200157 4500500 | ||
---|---|---|---|
005 | 20250112003752.0 | ||
041 | _afre | ||
042 | _adc | ||
100 | 1 | 0 |
_aSaladin, Matthieu _eauthor |
245 | 0 | 0 | _aLes « musiques expérimentales » : une polémique en devenir |
260 | _c2017. | ||
500 | _a53 | ||
520 | _aLa notion de « musiques expérimentales » a régulièrement servi à revendiquer une position de marge vis-à-vis des musiques populaires aussi bien que des canons de la musique savante. Elle revient aujourd’hui de plus en plus souvent, quitte à apparaître sans cesse plus centrale, et donc plus floue. Les choses se compliquent quand des musiciens autodidactes, qui apprécient de composer par tests et erreurs, ou qui s’intéressent à des attitudes d’écoute originales, jouent le jeu de la légitimité en utilisant ce que le mot porte de référence lointaine aux avant-gardes sonores, et à des figures comme John Cage et Pierre Schaeffer. Matthieu Saladin, artiste, musicien, auteur et maître de conférence à Paris 8, a notamment écrit le récent L’expérience de l’expérimentation (Les presses du réel). Nous lui avons demandé une mise au point sur ces mots et ces idées, et il a choisi de l’aborder par une polémique en partie indirecte entre Cage et Schaeffer. Dans cette polémique, la référence à une approche scientifique contrôlée s’oppose clairement à un jeu avec l’indétermination, mais cela n’empêche pas des airs de famille entre leurs deux esthétiques. S’il n’y a pas d’origine et de définition ferme de « musiques expérimentales », cette idée correspond néanmoins historiquement à des procédés et à des parti-pris, qu’il vaut mieux connaître si l’on prétend faire ou entendre de la musique en expérimentation. | ||
786 | 0 | _nAudimat | 7 | 1 | 2017-05-01 | p. 185-207 | 2261-3595 | |
856 | 4 | 1 | _uhttps://shs.cairn.info/revue-audimat-2017-1-page-185?lang=fr |
999 |
_c97373 _d97373 |