| 000 | 01772cam a2200157 4500500 | ||
|---|---|---|---|
| 005 | 20250125131016.0 | ||
| 041 | _afre | ||
| 042 | _adc | ||
| 100 | 1 | 0 |
_aBon-Saliba, Brigitte _eauthor |
| 245 | 0 | 0 | _aGrands-parents : la force du lien intergénérationnel |
| 260 | _c2018. | ||
| 500 | _a4 | ||
| 520 | _aÊtre grands-parents au 21e siècle, quel sens donner à cette fonction quand les familles sont le lieu de grandes mutations sociales : faible fécondité, instabilité du lien conjugal, recompositions familiales après divorce ou séparation ? Les grands-parents d’aujourd’hui ont eux-mêmes changé. Ils vivent plus longtemps, travaillent encore quand arrivent les premiers petits-enfants. Ils ont été des acteurs de ces mutations intervenues dès les années 1960 avec l’augmentation du nombre des divorces, la montée de l’union libre et des naissances « hors mariage » dans les années 1980. Ils ont contribué, surtout dans les classes moyennes à promouvoir de nouveaux modèles familiaux : plus égalitaires, plus individualistes aussi. Dans leur ouvrage, paru en 1998, Grands-parents. La famille à travers les générations2 Claudine A ttias-D onfut, pionnière de la sociologie des générations et Martine S egalen, anthropologue, analysent ces mutations et décrivent leur impact sur les nouveaux grands-parents. Vingt ans après, derrière la diversité des attitudes grands-parentales, la variété des styles de relations grands-parents/parents, grands-parents/petits-enfants, la continuité de la filiation et le lien intergénérationnel sont-ils toujours assurés ? | ||
| 786 | 0 | _nTiers | 23 | 2 | 2018-11-02 | p. 25-35 | 2112-6984 | |
| 856 | 4 | 1 | _uhttps://shs.cairn.info/revue-tiers-2018-2-page-25?lang=fr&redirect-ssocas=7080 |
| 999 |
_c990151 _d990151 |
||