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005			20250125132400.0
041			_afre
042			_adc
100	1	0	_aPoizat, Denis _eauthor
245	0	0	_aJus ad bellum, jus in bello, l'enfance meurtrie
260			_c2012.
500			_a2
520			_aRésumé La souffrance ou la mort de l’enfant outrepassent tout droit de la guerre ou toute régulation morale ou politique de la violence, au cours des guerres et au-delà. La prise d’otages d’enfants dans une école, le massacre d’enfants sous des bombardements invalident l’idée même de guerre “juste”. Pour argumenter son propos, l’auteur fait appel au Dostoïevski des Frères Karamazov, à la monstruosité criminelle d’un Gilles de Rais ou au spectre de la guerre chimique. De la violence et de la cruauté inacceptable de la guerre, l’enfant devient à la fois le témoin irrévocable et l’ultime arbitre, et corrélativement le plus bel étendard de la protestation pacifiste.
520			_aThe suffering or death of children goes further than the right to go to war or any moral or political regulation of violence in the course of wars and beyond. The taking of child hostages in a school and the massacre of children in bombardments invalidate the idea of a just war. To bolster his argument, the author draws on the novel Brothers Karamazov by Dostoyevsky, the monstrous criminality of Gilles de Rais and the spectre of chemical warfare. The child becomes at once the irrevocable witness and the ultimate arbiter of the violence and cruelty of war and at the same time the most telling voice of pacifist protest.
786	0		_nLe Télémaque | 42 | 2 | 2012-11-01 | p. 131-142 | 1263-588X
856	4	1	_uhttps://shs.cairn.info/revue-le-telemaque-2012-2-page-131?lang=fr&redirect-ssocas=7080
999			_c995110 _d995110