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Les cas de quatre entreprises françaises sous haute pression concurrentielle et médiatique sont retenus afin d’étudier la gestion du capital humain en temps de crise. Suite aux suicides en chaîne de salariés, les directions d’entreprise ont été contraintes de réagir pour préserver leur légitimité parfois écornée dans les articles de presse. Les journalistes optent en effet pour un schéma narratif, souvent éclaté, mais à l’écoute des parties prenantes. Les concepts centraux, détectés par une analyse qualitative des articles journalistiques, qui ressortent sont ceux de la responsabilité de l’entreprise et des dirigeants, d’une tentation de leur part de déni de la réalité, et finalement d’une réponse organisationnelle apportée dans l’urgence.

Suicide at work : now face the pressure of the mediaThe case of four French companies high competitive pressure and media are retained to study the management of human capital in times of crisis. Following the suicide chain of employees, company management were forced to react to preserve their legitimacy sometimes tarnished in the press articles. Journalists indeed opt for a narrative pattern, often broke, but listening to the stakeholders. The central concepts, detected by a qualitative analysis of newspaper articles, that stand out are those of corporate responsibility and officers of a temptation in their share of denial, and finally an organizational response to in the emergency.