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La fin du XXe siècle a vu se développer les chaînes de salon de coiffure. Le créateur de l’enseigne, coiffeur implanté dans un salon unique, étend son activité en multipliant les points de vente. Il y associe sa première coiffeuse. Bien souvent le montage juridique de ces structures est identique. Le propos de cette contribution est de montrer que les pratiques dolosives et une forme de fétichisme, en constituent le fondement. Cette combinaison, appuyée par la loi, permet de manipuler l’employée en toute légalité.

Straw women in hair fashionThe end of the 20th century saw the developing of the hairdressing salon chains. The creator of the label that is to say the hairdresser settled in a unique shop spreads his activity by multiplying sales outlets. He joins with his first hairdresser. Very often the legal assembly of these salons structures is identical. The comment of this contribution is to show that the fraudulent practices as well as a sort of fetishism are its bases. This contribution enforced by the law allows to manipulate the employee legally.