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L’autre visage de la culture américaine en France : James Baldwin et la « Nouvelle génération perdue »

Par : Type de matériel : TexteTexteLangue : français Détails de publication : 2019. Sujet(s) : Ressources en ligne : Abrégé : La « Génération perdue » de l’entre-deux-guerres, celle d’Hemingway, de Fitzgerald, de Dos Passos ou encore de Gertrude Stein, est bien connue. On sait moins que, après-guerre, d’autres écrivains américains, exilés en Europe et en France, se présentèrent à leur tour comme une « nouvelle génération perdue », selon l’expression de James Baldwin. C’est précisément à cet écrivain que s’intéresse cette contribution, à travers un document où celui-ci évoque son expérience d’exilé dans le contexte de la Guerre froide. En montrant les liens entre culture et identité, mais aussi entre culture et pouvoir, ce document dépeint un James Baldwin s’exprimant tout à la fois comme un écrivain, un noir et un Américain.Abrégé : The “Lost Generation” of the Interwar period, the one of Hemingway, Fitzgerald, Dos Passos or Gertrude Stein is well known. What people may not know is that, in the afterwar, some American writers, who where exiled in Europe and in France, were regarding themselves as a “New Lost Generation”, according to James Baldwin. This is precisely this writer we want to deal with, throughout a document which reflects his experience of exile in the context of Cold War. By showing the links between culture and identity, but also culture and power, this document portrays James Baldwin expressing himself as a writer, a black man and an American.
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La « Génération perdue » de l’entre-deux-guerres, celle d’Hemingway, de Fitzgerald, de Dos Passos ou encore de Gertrude Stein, est bien connue. On sait moins que, après-guerre, d’autres écrivains américains, exilés en Europe et en France, se présentèrent à leur tour comme une « nouvelle génération perdue », selon l’expression de James Baldwin. C’est précisément à cet écrivain que s’intéresse cette contribution, à travers un document où celui-ci évoque son expérience d’exilé dans le contexte de la Guerre froide. En montrant les liens entre culture et identité, mais aussi entre culture et pouvoir, ce document dépeint un James Baldwin s’exprimant tout à la fois comme un écrivain, un noir et un Américain.

The “Lost Generation” of the Interwar period, the one of Hemingway, Fitzgerald, Dos Passos or Gertrude Stein is well known. What people may not know is that, in the afterwar, some American writers, who where exiled in Europe and in France, were regarding themselves as a “New Lost Generation”, according to James Baldwin. This is precisely this writer we want to deal with, throughout a document which reflects his experience of exile in the context of Cold War. By showing the links between culture and identity, but also culture and power, this document portrays James Baldwin expressing himself as a writer, a black man and an American.

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